Un an chez des galactiques d’une galaxie voisine

Suite à la conférence  » divulgation galactique » prévue en France en juillet 2023 avec plusieurs intervenants dont David Rousseau, Jean charles Moyen, Elena Danaan … je me suis interessée à l un des intervenants un certain Robert L qui dit avoir passé un an chez des galactiques d’ une galaxie voisine dont voici un résumé de son histoire.

 » Robert L. : Rencontre avec des visiteurs
intergalactiques « 
Sommes-nous seuls dans l’Univers ? Voilà la question stupide que
beaucoup de gens se posent encore de nos jours et notamment
dans les grands médias. Elle est stupide car la réponse négative est
évidente pour quelqu’un comme moi qui, depuis des décennies,
s’intéresse justement à la présence extraterrestre sur notre
planète. Disons-le : les astres sont faits pour être habités, pas pour
servir simplement de décor cosmique ! Dans le milieu scientifique,
on entend des formulations du genre : on ne sait pas si les
extraterrestres existent, personne ne le sait, etc., comme cela a été
par exemple le cas dans une émission de France-Inter datée du 20
février 2012 (et rediffusée entre 4 heures et 5 heures du matin le
21 février), l’individu ayant prononcé ce genre de propos
convenus étant l’auteur d’un livre intitulé : “Les extraterrestres
expliqués aux enfants”. L’interviewé a parlé d’« Avatar », d’« Alien
», etc., mais pas, bien sûr, d’ufologie… Il s’agit d’une attitude
classique de la part d’un astrophysicien qui, comme ses pairs,
ignore notamment – et est totalement réfractaire à ceux-ci – les
récits de RR3 et de “contactés”. Pourtant, n’en déplaise à ces
scientifiques, des gens qui savent que les extraterrestres existent,
cela existe justement. Ils le savent tout simplement parce qu’ils en
ont vu. Le cas suivant en est, parmi bien d’autres cas, l’illustration.
Ce cas est celui de Robert L., et il est l’un des plus extraordinaires
qui soient dans le domaine des contactés. Il a été initialement
évoqué au début des années 1970 dans plusieurs numéros (que je
m’étais procurés à l’époque) de la revue “Lumières dans la nuit”
(LDLN), lorsque Raymond Veillith et Fernand Lagarde étaient les
chevilles-ouvrières de cette revue ufologique née dans les années 1950

Néanmoins, les aspects les plus extraordinaires du récit
avaient été passés sous silence par le témoin principal, et ce n’est
que 40 ans plus tard que celui-ci s’est décidé à les divulguer après
avoir respecté le délai que lui avaient demandé ses amis d’un
autre monde.

C’est donc dans les années 2000 que l’intégralité du contenu de
l’aventure du témoin a été divulguée. C’est Joël Mesnard, directeur
de LDLN depuis 1988, qui est donc revenu sur ce cas dans les
colonnes de sa revue, suite à une enquête réalisée, auprès du
témoin, par Georges Metz.
Le témoignage de Robert L. a été développé dans plusieurs
publications auxquelles je renvoie le lecteur ou la lectrice :
– Dans plusieurs numéros de LDLN (« Lumières dans la nuit ») dans
les années 1970 (pour les premières phases du récit), et dans
plusieurs numéros, datés des années 2000, de la même revue, cette
dernière version comportant les éléments qui avaient été
dissimulés par le témoin au début des années 1970. Voir à ce sujet :
auteurgeorgesmetz1) Georges Metz, “Lumières dans la nuit”, n°
381, daté d’avril 2006, p. 31-42.
2) Georges Metz, “Lumières dans la nuit”, n° 382, daté de juillet
2006, p. 36-42.
3) Georges Metz, “Lumières dans la nuit”, n° 383, daté de novembre
2006, p. 42-44.
4) Georges Metz, “Lumières dans la nuit”, n° 384, daté de janvier
2007 (mais paru en février 2007), p. 31-34.
– Dans un article que j’ai rédigé pour le numéro 35 de la revue «
Top secret », sur la base des informations données par LDLN (et
plus précisément dans les textes de Georges Metz).
couv-ovni-france– Dans le livre de Georges Metz publié en 2011
aux éditions Interkeltia : « OVNIs en France », dont je recommande
particulièrement la lecture. C’est dans ce livre que l’on trouve le
récit le plus complet, avec des éléments qui n’avaient pas été
donnés dans les articles de LDLN.
Dans le numéro 58 de « Top secret », celui de décembre 2011-
janvier 2012, on trouve une interview de Robert L. réalisée par
Roch Saüquere, le directeur de la revue. Les éléments
d’information donnés ci-après sont tirés de cette interview.
En 2011 donc, plusieurs ufologues, dont Jean-Claude Venturini et
Georges Metz, sont descendus sur Toulouse à l’occasion de la sortie
du livre de Georges Metz : « OVNIs en France », aux éditions

Interkeltia.

Le témoin Robert L., qui a vécu, dans les années 1960,
une aventure hors du commun, était présent pour donner une
conférence à l’occasion des Repas ufologiques.
« Robert m’est présenté. Je remarque immédiatement la
profondeur de son regard qui semble traverser l’âme. Je ne le
connais pas personnellement, mais je connais assez bien son
extraordinaire aventure. Nous avons publié un long dossier à
ce contacté dans TS n° 35. Robert L. respire la sincérité et la
simplicité. Ce n’est vraiment pas le genre d’homme qui
cherche ou qui aime à se mettre en avant. Cela rend son
témoignage d’autant plus crédible. » (Roch Saüquere)
Une discussion (enregistrée) à bâton rompu a eu lieu lors du
voyage (en voiture) de Toulouse à l’Isle-Jourdain et Auch, entre
Roch Saüquere et Robert L. Dans le véhicule, étaient également
présents George Metz et la responsable des repas ufologiques de
Toulouse. Voici donc le récit du témoin :
Tout a commencé le 25 juin 1966. Alors âgé de 21 ans, Robert L.
rentrait d’une fête d’un village (Lunac) de l’Aveyron, alors qu’il
était minuit et demi/une heure. Il était arrivé dans la cour éclairée
par une ampoule, et c’est alors que sa mère, son père et sa grand-
mère lui dirent qu’un « obus » (une colonne de lumière ayant cette
forme) et des lumières se promenaient…
Les premiers jours de janvier 1967, son père (né en 1907) l’appela
pour lui dire qu’il y avait les boules comme en juin. Robert L., qui
ne vit rien, retourna dans la grange. Mais le père le rappela en lui
criant qu’elles étaient revenues. Cette fois, le fils vit, derrière la
grange, les boules de lumière.
Un jour de janvier, Robert L. a vu 4 ou 5 boules dans le champ.
L’une d’elles était immobile. Elles avaient un diamètre d’1 mètre à
1 mètre 20 et elles flottaient à 20-30 centimètres du sol. De la
lumière en émanait, mais elles n’éclairaient pas.

La poursuite de la boule et la soucoupe à double dôme :
Robert L. voulut aller voir la boule immobile qui se trouvait à 40-
50 mètres de la maison. Il voulait la percuter avec la voiture ! Il ne
voulait pas y aller à pied car il avait peur de toucher la boule et de
se prendre de l’électricité. Il se mit à rouler en direction de la

boule, mais plus il avançait, plus la boule s’éloignait. Après une

centaine de mètres ainsi parcourus, il a vu un obus sur le côté

gauche, qui était en biais, un peu au-dessus des arbres. Cet obus

est parti en travers, comme une fusée. Le témoin s’est alors rendu

compte que la boule l’attendait. Il s’est mis à la poursuivre à une

vitesse allant jusqu’à 90 km/h, sur plus de 3 kilomètres et sur une

route sinueuse. Il n’avait pas peur, mais il voulait simplement

attraper ce « truc ». Son père disait qu’« à tous les coups, c’est une

expérience militaire ». Il est vrai qu’il y avait une base militaire à

quelques kilomètres à l’ouest, le camp militaire de Caylus… La

boule est passée sur le côté droit pour disparaître dans les champs.

La voiture s’est alors mise à avoir des ratés. Le conducteur voulut

se garer sur la droite, tout en sentant de la chaleur monter dans le

véhicule. C’est alors qu’il vit une « soucoupe» à double dôme. Elle

montait et descendait, pendant qu’à côté le panneau indicateur

vibrait. Dans les dômes, il y avait deux personnages. Le témoin a

alors senti un engourdissement terrible, puis il a perdu

connaissance.

Lorsqu’il s’est réveillé, il était dans le fossé en dehors de la voiture.

Cette dernière a démarré au quart de tour. Une fois rentré à la

maison, le témoin a appris que plusieurs heures s’étaient écoulées

depuis son départ. Ses parents étaient affolés car il était 4 heures

du matin. A l’époque, ils n’avaient pas le téléphone et ils n’avaient

pas pu prévenir le voisin car des boules de lumière bloquaient les

deux entrées principales. Elles venaient de partir juste au moment

où Robert arrivait.

Les visites nocturnes et le départ :
A la suite de ces événements, Robert L. a eu des sortes de rêves,
comme s’il sortait de son corps, mais ce n’était pas très conscient à
l’époque.
Pendant deux ans, le soir, des êtres pénétraient à travers les murs
de sa chambre. Il en a parlé un peu plus tard à son père. Cela est
arrivé régulièrement en 1967-1968. Pendant cette période, son
père voyait les lumières, ce qui ne fut pas le cas de la mère et de la
grand-mère.

Robert L. ayant demandé à ces êtres s’ils étaient des anges ou des
dieux, ils ont répondu qu’ils étaient des êtres humains, des
explorateurs d’étoiles, des savants venant d’une galaxie voisine.
Lors de ces visites, il n’avait pas peur.
Une fois, il a eu comme un bracelet de lumière transparent sur le
poignet droit, et ce bracelet s’est rempli de sang. Il n’avait senti
aucune piqûre. Le lendemain, il n’avait aucune trace. On peut dire,
dit-il, que c’était comme une prise de sang.
En général, il était dans un état second de rêve éveillé. Au début, il
y avait une visite par mois. Cela s’est espacé, puis les visites sont
devenues plus fréquentes.
En 1968, la personne que le témoin appelait « le guide » lui a
demandé s’il voulait venir vivre avec eux en Inde, dans une grotte
aménagée où il aurait tout ce qu’il lui faut. Il ne devait rien
emporter, aucune affaire personnelle, à l’exception des vêtements
qu’il portait. Après réflexion, il accepta la proposition. Il a
commencé à pratiquer le yoga.
Au cours des discussions avec les explorateurs d’étoiles, le témoin
a appris que la plupart des planètes sont habitées et que la race
humaine existe, dans l’univers, depuis des milliards d’années. Le
contacté ayant demandé comment l’univers avait été créé, si cela
s’était fait « une bonne fois pour toutes », les visiteurs lui ont
répondu que non, qu’il y avait, tout le temps, des mondes qui
naissaient et des mondes qui mourraient.
A la question de savoir s’il y avait plusieurs dimensions, le guide
répondit qu’il n’y en avait qu’une dans l’univers, mais qu’il y avait
« différents volumes, avec des densités différentes ».
Pour voyager dans l’espace, ils peuvent « raccourcir le temps ou
l’étirer ».
Robert L. raconta la vérité à son père. A sa mère et à sa grand-
mère, il dit, pour ne pas les inquiéter, qu’il allait à Paris. Il avait
rendez-vous dans un champ, à un endroit précis, à une heure
précise.
Le jour où il a dû descendre le champ pour monter dans la
soucoupe, il a eu peur. Il était 22 heures 30, le guide lui ayant dit
de se tenir à côté du cerisier. Le contacté a eu peur de monter dans

l’engin, peur de ne pas pouvoir respirer comme les visiteurs et de
mourir. Il a été pris de panique, mais une pensée lui est venue : le
« guide » le rassurait en lui disant que tout était prévu pour lui,
qu’il n’y avait aucun souci.
Le guide ne lui a pas donné son nom car ce nom lui aurait été
imprononçable.
Ces êtres mesuraient entre 2 mètres et 2 mètres 50. Leur visage
était fin, les yeux longilignes et bridés comme des Chinois.
Lorsqu’ils étaient debout, leurs bras étaient plus longs que les
nôtres et descendaient presque jusqu’aux genoux.
Il ne pouvait pas aller dans la base sans une certaine préparation
préalable car il serait probablement mort en entrant. Il pense qu’il
avait déjà un implant et il avait une tenue spéciale.
Dans la soucoupe, cela ne bougeait pas, cela ne tremblait pas, il n’y
avait pas de bruits et les sièges étaient extrêmement confortables.
Il était tellement bien qu’au bout de quelques secondes il a
demandé si le voyage allait commencer. Et là, sous ses pieds, le sol
est devenu transparent, comme si on avait ouvert une trappe ; il a
alors vu une ville pleine de lumière. Il a pensé, à tort ou à raison
d’ailleurs, que c’était Marseille, mais il n’a jamais su.
Lors du départ, il n’y avait que le guide et lui.
Avant que la soucoupe n’arrivât, le regard de Robert L. fut attiré
vers le ciel et il vit alors se former un trou, le vaisseau ayant passé
à travers, comme « s’il sortait d’un deuxième univers ». Il faisait
nuit et, à travers cette ouverture, il a vu un ciel bleu en décalé.
A cette époque, Robert L. étant sujet à des migraines terribles, les
visiteurs lui dirent que son corps physique fonctionnait bien mais
qu’il y avait des réglages à faire. C’est ce qu’ils ont fait et depuis,
plus rien.
Il n’a jamais eu l’idée d’appeler les gendarmes. Mais ce qui est
curieux, dit-il, c’est que les gendarmes passaient souvent pour
faire des rondes, comme s’ils avaient été prévenus qu’il se passait
quelque chose. Lorsque les visiteurs venaient le voir le soir dans
sa chambre, il leur disait que s’ils venaient souvent, les voisins
finiraient par apercevoir leur lumière ultra puissante… Ils l’ont

rassuré en lui disant que leur technologie était très évoluée et leur
permettait de ne pas être vus.
Les visiteurs ont dit qu’il y avait, sur la planète, 300 000 contactés,
et qu’il existait diverses catégories d’êtres humains
extraterrestres. Ils appartenaient à un groupe spécifique, une
confédération galactique, et étaient en mission d’exploration.
Il n’a jamais croisé d’autres Terriens dans la base.

Le séjour dans la base :
Arrivé à la base, Robert L. a été accueilli par deux femmes – la
biologiste et l’ethnologue – qui l’amenèrent dans sa chambre. Il
s’agissait de deux femmes blondes très belles. Lorsqu’elles
s’exprimaient, elles n’avaient pas d’accent et parlaient le français.
Les visiteurs utilisaient les mêmes mots que lui, mais ils n’avaient
pas son accent très marqué du sud.
Durant son séjour d’un an à la base, il ne vit que ces deux femmes
et le guide.
L’entrée de la base était constituée d’un trou dans une montagne,
avec un tunnel en col de cygne. Le hangar faisait à peu près une
centaines de mètres. Les murs n’avaient pas d’angle, pas d’arête,
ils étaient très lisses, comme un miroir.
Robert L. n’a jamais aussi bien dormi de sa vie que quand il était
dans la base. Quand il se mettait au lit, il s’endormait de suite, sans
rêves ou cauchemars. Quand il se réveillait, il était pleinement
éveillé. Les visiteurs travaillaient surtout avec des champs
électromagnétiques.
La nourriture était comme des billes qui fondaient dans la bouche,
et c’était bon. Cela avait le goût de viande et de céréales.
On sortait du hangar par une espèce d’ascenseur qui pouvait
conduire jusqu’à l’extérieur. C’est de ce point d’observation que
Robert L. a vu des vaisseaux rentrer à l’intérieur de la base.
Dans la base, la lumière semblait venir de nulle part. Cela éclairait
de partout et partout exactement de la même manière. Les murs
n’étaient pourtant pas lumineux.

Depuis la base, Robert L. pouvait voir, sur des écrans, ses parents
et sa maison. Ce type d’écran avait l’apparence d’une demi-sphère
en 3 D et en couleur. Robert L. avait deux boutons pour manipuler
l’image.
Pendant un an, il a principalement appris le yoga, il se promenait
dans la base. Il y avait dans cette dernière trois zones qui lui
étaient interdites. Dans la première, il y avait des champs
électriques puissants, dans la deuxième il y avait des champs
électromagnétiques où il aurait été grillé, et dans la troisième il y
avait de la radioactivité. Un jour, ayant voulu transgresser
l’interdit, il avança vers l’un des portails interdits et il s’est senti
paralysé, comme s’il avançait dans une mélasse invisible dont il a
eu du mal à sortir.
Il pouvait se promener. Une fois, il a vu des gens bricoler qui lui
ont d’ailleurs « fait coucou ».
Il a appris que leur planète avait à peu près les mêmes
caractéristiques que la nôtre, avec une atmosphère à peu près
comme la nôtre. On lui a appris que les planètes avec lesquelles ils
étaient en communication avaient un gouvernement mondial, les
dirigeants s’occupant autant du plus petit que du plus puissant,
personne ne cherchant à exploiter qui que ce soit. Il n’y a pas
d’argent.
Faisant référence au système de propulsion des vaisseaux, Robert
L. évoque une couronne tournante. Une couronne tournait dans
un sens et une autre dans le sens opposé, ce qui engendrait un
grand champ d’énergie.
Tous les deux jours, la biologiste prélevait manuellement la
semence du contacté, l’objectif étant, d’après ce qu’on lui a dit, de
contribuer au peuplement de planètes. Celui-ci ayant demandé à la
femme si elle accepterait d’avoir un rapport sexuel avec lui, elle a
refusé en disant qu’elle effectuait un travail.
Ces gens maîtrisaient parfaitement leurs émotions. Le témoin ne
les a jamais vus rire ou pleurer.
Dans la base, Robert L. suivait des cours de yoga physique et
mental.

Robert L. n’a pas révélé de suite tout ce qu’il a appris. On lui a
demandé de n’en parler que 40 ans plus tard, de « restituer le
message », selon l’expression employée par ses contacts. Ce
message, d’ordre spirituel et philosophique, se trouve dans le livre
de Georges Metz : « OVNIs en France » (éditions Interkeltia, 2011).
« Et ce message, j’ai dû l’écrire pour que Georges puisse le
mettre dans le livre, et lorsque je m’asseyais devant
l’ordinateur, je ne savais pas ce que j’allais marquer. Et les
idées me venaient au fur et à mesure, parfois je ne pouvais pas
suivre, alors ces idées revenaient en arrière et elles
reprenaient. » (Robert L.)
– La rencontre extraordinaire :
Le guide n’était pas d’accord pour que Robert L. assistât à la
réunion évoquée ici, mais la biologiste a insisté (devant le
contacté) auprès de lui. Le guide a accepté, à la condition qu’il ne
dise pas un seul mot.
Le contacté a alors vu des êtres apparaître devant leurs sièges. Il y
avait de grands êtres entre 2 mètres et 2 mètres 50, ainsi que
d’autres êtres mesurant à peu près 1 mètre 10 ou 1 mètre 20, assez
trapus et volumineux. Il n’y avait que des humains de différentes
variétés. Au milieu de la table, un grand globe est apparu, dans
lequel on voyait des êtres et des planètes en 3 D. La biologiste se
tourna vers le témoin et lui dit : « Tu vois, Roro, l’univers est
fantastique. » A un moment donné, dans cette sphère est apparu
un système solaire comprenant trois Soleils.

Un tour en France :
On a demandé une fois à Robert L. s’il souhaitait faire un tour en
France. Celui-ci ayant répondu oui, ils sont montés sur la plate-
forme sur laquelle se trouvait un vaisseau. Ce dernier était plus
grand que celui qui l’avait amené à la base.
Ils étaient 7 à l’intérieur : lui-même, 2 pilotes, le guide, les deux
femmes scientifiques, et un individu qui faisait peur à Robert L. «
parce qu’il ne rigolait vraiment pas ». Il y avait 9 places dans le

vaisseau, et le témoin a été informé qu’il s’agissait d’un vaisseau
de combat.
Lorsqu’il est entré dans le vaisseau, il s’est arrêté et la biologiste
l’a poussé par les hanches en lui disant de ne pas s’inquiéter. Il
s’installa et vit que, sous les pieds, le sol était transparent. D’un
seul coup, il vit ce sol plonger vers le fond à une vitesse
phénoménale. Il eut un “haut-le-coeur”, cette impression étant
due, non à une pression physique, mais à l’effet visuel. Le métal
devenait transparent, en haut et en bas, sur les côtés.
Une fois en France, ils virent deux avions de chasse. La paroi du
vaisseau est devenue un écran par lequel Robert L. pouvait voir le
cockpit de l’avion de chasse, le tableau de bord étant visible sur un
autre écran.
Robert L. ne vit qu’un avion sur les deux.
« Nous nous trouvions derrière celui-ci, puis nous nous
sommes positionnés sur sa droite, légèrement au-dessus. Nous
avons fait un tour de l’avion par le dessus et nous sommes
revenus sur sa droite par le dessous. Très peu de temps après
cette manipulation, le pilote a tourné la tête pour regarder en
notre direction, et c’est là que j’ai très bien vu les lettres FB
sur le fuselage de l’avion. J’ai eu peur que l’avion de chasse
nous attaque, mais le guide m’a rassuré en me disant que tant
que le champ de force du vaisseau était déployé, aucun
élément physique ou gazeux ne pouvait pénétrer dans le
vaisseau.
Et là, j’ai vu l’avion partir à toute vitesse. Le guide me dit que
ce n’était pas l’avion, mais bien nous qui partions. Si l’avion
avait réussi à percuter notre champ de force, il aurait été
pulvérisé en 1000 morceaux. » (Robert L.)
Georges Metz et ses amis ont cherché à identifier cet avion et son
pilote. Ils ont eu accès aux archives militaires de l’aviation. Ils ont
trouvé un avion immatriculé FB en service à l’époque des faits, en
octobre 1969, à Dijon. Ils ont identifié une sortie d’un Mirage 3000
CFB, le 27 octobre 1969, dans l’horaire qui correspond aux dires de
Robert L. Un rapport mentionne que deux avions de chasse sont
sortis en vol pour obtenir un contact avec un vol non identifié ne
répondant pas aux appels radio.

« Le pilote de ce FB, nous avons retrouvé son nom, mais
impossible de le retrouver lui. Nous cherchons à retrouver sa
trace. Pour les détails de cette enquête, il faut lire le livre de
Georges. Le pilote de l’autre avion, un capitaine, est décédé. »
(Robert L.)
Le voyage en « soucoupe » a continué au ras des arbres, puis le
vaisseau est rentré à la base.

Le retour à la maison :
Fin novembre 1969, Robert L. a été ramené chez lui.
« Mon père avait reçu une lettre pour le prévenir de mon
retour avec la date et l’heure. On n’a jamais su qui avait
envoyé cette lettre. Certains humains pourraient travailler
pour eux et avoir des postes clés dans le domaine de
l’industrie et d’autres. Ils m’ont déposé à l’endroit exact d’où
j’étais parti. A mon retour chez moi, j’avais le cœur lourd. J’ai
embrassé les deux scientifiques ; j’ai dit au revoir au guide qui
m’a remis une enveloppe marron de la poste de l’époque. Je
suis rentré chez moi et mon père m’attendait. De là, j’ai
regardé dans l’enveloppe et j’ai trouvé 27 000 francs anciens.
Une belle somme pour l’époque. » (Robert L.)
Les amis extraterrestres du témoin lui avaient dit de garder le
secret pendant 40 ans. Ils lui avaient dit qu’ils pouvaient lui
donner une preuve, mais qu’ils ne le feraient pas pour lui éviter de
sérieux ennuis. Il a tout de même supposé qu’il avait quelque
chose dans le dos, un implant.
Il a toujours cet implant, mais celui-ci n’est pas toujours activé.
« Un ami s’est pris un coup d’électricité en posant sa main
dessus. Et Georges, en passant sa main, a vu que quelque chose
vibrait sous la peau. » (Robert L.)
Depuis les événements, les êtres de l’espace ne l’ont pas
recontacté, et quelque part, dit-il, c’est un grand regret. Mais,
ajoute-t-il, étant né sur Terre, il est normal qu’il y vive et même
qu’il y meure. Il a mis beaucoup de temps à mettre des mots sur ce
qu’il a vécu.

Dans le livre de Georges Metz, une quarantaine de pages sont
consacrées à un message d’ordre spirituel et philosophique que les
amis d’outre-Terre de Robert L. lui ont livré et demandé de
restituer 40 ans après. Ce message concerne notre manière de
vivre. De cette expérience, il garde un certain nombre de conseils
qui l’aident à mieux conduire sa vie.
Au niveau professionnel, sa vie a été bouleversée. Il est devenu
aide-soignant.
Il pense avoir servi de cobaye à ses amis d’outre-Terre. (1)

source: http://www.medium-guerisseur.info/2020/03/robert-l.rencontre-avec-des-visiteurs-intergalactiques.html

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