La terre creuse

Géophysicien américain de grand renom, Raymond Bernard publia en 1969, sous le titre original  »the hollow Earth », son livre où il soutenait déjà la thèse de la Terre Creuse. Ce livre fit à l’époque scandale et fut, à différentes reprises, retiré mystérieusement des réseaux mondiaux de distribution. 

Nous savons à présent qu’il y a dans la terre d’immenses réseaux de tunnels, des bases (dooms) des forces sombres dont certaines ont la taille de ville (qui pour la plupart sont à présent détruites), des bases appartenant aux forces de lumière (mouvement de la résistance) mais aussi des endroits où vivent des populations galactiques, la plus connue étant Agharta mais il y en a un tas d’autres. Alors certes la terre n’est pas totalement creuse mais ressemble plutôt à un gruyère percé de trous et de tunnels.

Il est intéressant de voir qu’un livre de 1969 parlait déjà de cette vérité même si tout n’est pas tout à fait juste dans ce livre et que certaines choses ont  évolué depuis.

Dans un article  je vous parlais des récits de l’amiral Byrd,  dans le livre que je vous présente il est dit   » La découverte de Byrd est frappée aujourd’hui d’un top secret international. Après le message radio qu’il envoya de son avion, et un bref communiqué de presse, toute nouvelle importante sur le sujet fut soigneusement supprimée par les agences gouvernementales. Il y avait une raison importante à cela.
L’explorateur ne passa pas au-dessus du pôle Nord pour continuer ensuite son vol de 2 700 kilomètres vers le sud. Sinon, il aurait rencontré un territoire pris dans les glaces.
Au contraire, la terre qu’il survolait n’avait ni glace ni neige, elle était dotée d’un climat chaud, et on pouvait apercevoir des forêts, des montagnes, des lacs, une végétation verte, et même des traces de vie animale. Cette nouvelle terre INCONNUE survolée par l’amiral américain pendant 2 700 kilomètres n’est mentionnée sur aucune carte. Et pourtant elle existe, à l’intérieur de l’ouverture polaire.
… »


Agharta

… « A  diverses époques de l’histoire, les super hommes (ou dieux) de l’Agharta apparurent à la surface de la Terre pour enseigner la race humaine et la sauver de la guerre et de la destruction. Nous l’avons dit, la venue des soucoupes volantes après l’explosion de la première bombe atomique relève de la même démarche. Mais, cette fois, les dieux ne se sont pas déplacés eux-mêmes. Ils ont envoyé des émissaires.

Dans le « Ramayana », Rama apparaît comme un être venu du Monde souterrain de l’Agharta à bord d’un véhicule aérien qui n’est autre qu’une soucoupe volante. La tradition chinoise parle de maîtres divins arrivés, eux aussi, sur de curieux chars ailés. La même chose pour Manco Copac, le fondateur de la dynastie Inca.

Un des plus grands maîtres issus du royaume d’Agharta a été Quetzalcoatl, le prophète des Mayas et des Aztèques. Qu’il fût pour eux un étranger appartenant à une race différente (atlante), cela ne fait aucun doute. Ilétait blond, alors que les Indiens sont bruns. Il était grand, alors qu’ils sont petits. Il portait une barbe, alors
qu’ils sont imberbes. Il fut révéré comme un sauveur par les Indiens du Mexique, du Yucatan et du Guatemala bien avant la venue de l’homme blanc. Les Aztèques l’appelèrent le « Dieu d’Abondance », et aussi « l’Etoile du Matin ». Son nom, Quetzalcoatl, signifie : serpent ailé. Le serpent symbolise la sagesse, et les ailes… eh bien, encore une fois, les ailes indiquent que Quetzalcoatl apparut aux Indiens à bord d’un engin aérien qui devait être une soucoupe volante.

Après être resté quelque temps avec eux, il disparut mystérieusement de la même façon qu’il était venu. Sans doute regagna-t-il son lieu d’origine : le Monde souterrain, l’Agharta.
Quetzalcoatl était considéré comme « un homme de belle apparence, au maintien grave, blanc de peau et barbu, vêtu d’un grand manteau flottant ». On l’avait appelé aussi Huemac, à cause de sa grande bonté et de sa vertu. Il enseignait aux Indiens le chemin du bien. Il essayait de les conduire vers un certain idéal en leur
conseillant de résister aux tentations avilissantes et de pratiquer la chasteté. Il condamnait la violence sous toutes ses formes. Il instituait un régime végétarien à base de blé, préconisait le jeûne et l’hygiène corporelle.
Selon l’archéologue Harold Wilkins, il fut aussi le maître spirituel des anciens habitants du Brésil.


Mais, voyant le peu de cas que les Indiens faisaient de son enseignement, Quetzalcoatl les quitta, non sans leur avoir dit qu’il reviendrait un jour. Certains faits ultérieurs semblent prouver qu’il « monta » au ciel, c’est-à-dire qu’il s’envola dans un engin. En effet, au moment où Cortez envahit le Mexique, l’empereur Montezuma crut que Quetzalcoalt était de retour, comme il l’avait annoncé dans le passé, cela parce qu’une boule de feu était apparue au-dessus de la ville de Mexico, tournoyant, virevoltant dans tous les sens,
plongeant le peuple dans la stupeur et l’affolement, et détruisant en fin de compte le temple du dieu de la guerre. Cette boule de feu n’était-elle pas la soucoupe volante utilisée par Quetzalcoalt pour ses voyages ?


Selon Donnelly, dans son livre :
L’Atlantide, monde antédiluvien, les dieux des anciens n’étaient autres que les seigneurs de l’Atlantide, membres d’une super-race qui dirigeait les destinées de notre monde, et qui continuait de vivre et de se développer dans les entrailles de la Terre.
Des villes souterraines à des niveaux variés. L’Agharta, continuation de l’Atlantide… L’Agharta qui
s’étend à toutes les parties du monde à travers un réseau de passages souterrains.

Dans son ouvrage « Bêtes, Hommes et Dieux », Ossendowski évoque cette vaste trame de tunnels qui passe sous les océans et sous les
continents, et qui a été construite par une race préhistorique remontant à la plus haute antiquité.
C’est au cours de ses voyages en Mongolie que des lamas l’instruisirent de l’existence d’un empire situé à l’intérieur de la croûte terrestre, et qui serait différent de celui qui se tient plus profondément au centre même
du globe.


Huguenin, dont nous avons mentionné les écrits sur les soucoupes volantes, croit qu’il existe un grand nombre de villes souterraines à des profondeurs variées, habitées par des êtres évolués à côté desquels nous ne sommes que des barbares. Il reproduit dans son livre un croquis de l’intérieur de la Terre montrant des cités
souterraines à des niveaux divers et reliées entre elles par des tunnels. Ces cités ont été bâties dans d’immenses cavités. Shamballah, la capitale, se situerait, suivant Huguenin, au centre de la planète et non dans la croûte solide.

Ossendowski écrit à ce sujet
« Les cavernes souterraines d’Amérique sont habitées par un ancien peuple qui a disparu de notre monde. Ce peuple, ainsi que le territoire qu’il occupe, sont sous la dépendance suprême du Roi du Monde.
L’Atlantique et le Pacifique étaient autrefois le siège de vastes continents qui furent plus tard submergés, et leurs habitants trouvèrent asile dans le Monde souterrain. Les cavernes les plus profondes sont éclairées par une lumière resplendissante qui fait pousser les céréales et donne aux habitants une vie très longue, exempte de maladies. »

Extrait de  » La Terre Creuse: La plus grande découverte géographique de l’histoire humaine  » de Dr. Raymond Bernard